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book published in French about Armenians written by a Christian Egyptian from France
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Below are the details of a book published in French about Armenians written by a Christian Egyptian from France
You probably can give visibility to the book in your newsletter.The name of the Novel is "Erevan"written by Gilbert Sinoue.
Kevork Manguelian
manguelians@videotron.ca
---From: Gilbert
To: Manguelian
Roman Erevan de G. Sinoue
Cher Monsieur Manguelian
Ma cousine, Magda Tadros, m'a fait suivre votre courriel.
Permettez moi de vous remercier pour l'intérêt que vous avez porté à mon roman, Erevan. A ma connaissance, le roman est en vente en Canada dans toutes les librairies de Montréal depuis deux mois. Donc la communauté - en principe - est en mesure de l'acheter sans problème. De même qu'elle l'a achetée en France où le livre connaît un très grand succès. Un film est de surcroît en préparation.
Vous trouverez ci-joint quelques articles qui en traite.
www.sinoue.com
http://www.tv5.org/TV5Site/litterature/critique-1316-gilbert-sinoue_erevan.htm
http://www.web-tv-culture.com/erevan-de-gilbert-sinoue-106.html?xtor=RSS-360
http://blog.matoo.net/index.php/archives/2009/04/17/erevan-de-gilbert-sinoue/
http://www.lire.fr/critique.asp/idC=53318/idTC=3/idR=218/idG=3
http://corboland78.hautetfort.com/archive/2009/04/15/gilbert-sinoue-erevan.html
http://www.livres-a-lire.net/article-27252674.html
http://grandmorning.nostalgie.be/lire-est-un-plaisir-gilbert-sinoue/
http://videos.france5.fr/video/iLyROoafJe9N.html
Il est évident que, si j'avais un jour l'opportunité de venir au Canada, je ne manquerais pas d'entrer en rapport avec vous.
Soyez remercié de votre soutien.
En toute amitié
Gilbert Sinoué
Ecouter ici : http://www.lefigaro.fr/livres/2009/02/05/03005-20090205ARTFIG00629-le-roman-vrai-du-genocide-armenien-.php
Et Ici telecharger un court extrait du livre: http://editions.flammarion.com/Albums_Detail.cfm?ID=34627&levelCode=litterature
Le roman vrai du génocide arménien
VIDEO - Dans son nouveau roman «Erevan» (Flammarion) Gilbert Sinoué raconte le génocide arménien de 1915 en respectant la vérité historique. Pour toucher ses lecteurs en plein cœur, l'écrivain met en scène une famille arménienne fictive décimée sans pitié dans le cadre du premier génocide commis au XXe siècle. Un massacre qui fit 1,2 millions de morts. L'ouvrage de Gilbert Sinoué est un plaidoyé pour la reconnaissance par le gouvernement turc actuel du génocide arménien.
[http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif]
TRIBUNE - Jean-François Gayraud, commissaire divisionnaire de la police nationale, et Noël Pons, conseiller au Service central de prévention de la corruption, établissent un lien entre criminalité et crise financière.
http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif Personne ne conteste à la crise du subprime une dimension à la fois structurelle (l'orgie de crédit) et conjoncturelle (l'éclatement de la bulle immobilière aux États-Unis). Cependant, nul n'a semblé voir les aspects criminels de cette crise financière globalisée. Un oubli étonnant car l'histoire nous enseigne que toutes les crises financières «recèlent» une dimension criminelle. Soit par l'immixtion du crime organisé, soit par la répétition d'opérations criminelles commises par les acteurs normaux des marchés ; et parfois aussi par l'association de ces deux univers. Dans notre propos, nulle volonté de réduire une crise systémique à du gangstérisme ou de débusquer d'improbables boucs émissaires, mais le souci de rappeler que le crime - organisé ou non - s'infiltre partout où l'argent règne, y compris sur les marchés financiers.
Le crime accompagne, amplifie et parfois provoque les crises financières. D'ailleurs, comment ne pas être troublé par l'étrange alerte publique que lança, en mai 2008, le ministre de la Justice américain, Michael Mukasey, sur la menace grandissante pour la sécurité nationale représentée par la «pénétration des marchés par le crime organisé» ?
Tout le monde ou presque semble avoir occulté le fait que le monde occidental avait déjà vécu dans les années 1980-1990 deux grandes crises financières à forte «odeur criminelle», dans un contexte également de prêts immobiliers inconséquents et de dérégulation des marchés.
Il y eut d'abord la faillite des caisses d'épargne et de crédit immobilier (Savings and Loans) dans les années 1980, aux États-Unis, l'un des pires désastres financiers du XXe siècle. Son coût pour le contribuable américain fut estimé à près de 500 milliards de dollars, en incluant les intérêts. Si le gouvernement fédéral n'était pas intervenu, le cœur même de l'économie américaine aurait été mis en danger et, par contagion, une partie de l'économie mondiale.
L'épicentre du désastre avait pour origine des fraudes criminelles de grande ampleur, menées par des cadres de ces caisses d'épargne et des bénéficiaires extérieurs, parfois même des mafieux avérés. 70 % à 80 % des faillites de ces caisses d'épargne furent dues à une activité criminelle.
Au même moment, le Japon vit une crise comparable dont le pays n'est toujours pas guéri. Dans un contexte d'argent facile et de dérégulation, les banques prêtent de manière inconsidérée à des sociétés et à des entrepreneurs «en odeur de Yakuza», la mafia japonaise. Lorsque les bulles bancaires et immobilières éclatent, le système financier japonais se retrouve exsangue, piégé par des masses de prêts irrécouvrables, estimés en 1998 à 600 milliards de dollars. Dans 30 % à 40 % des cas, ces «créances douteuses» s'avèrent être en fait des «créances mafieuses», donc impossibles à recouvrer.
La crise du subprime s'amorce probablement avec la multiplication de prêts immobiliers à des bénéficiaires dans l'incapacité de rembourser. D'abord, des montages primaires affectant la qualité des prêts seront mis en évidence. La seconde période (titrisation et dérivés d'assurances) enfante des montages alambiqués, toujours causés par l'attrait des bonus et par la complexité même des opérations. Les fraudes changent de nature, les conflits d'intérêts entre agences de notation et banques, banques et assureurs, se multiplient au gré des évaluations et des contrats. Surtout, les créances gênantes quittent les bilans. De véritables «usines à gaz» dans lesquelles le fictif a été agrégé au réel sont montées. Au moment du décompte final, les pertes doivent être régularisées : les bilans manipulés et les annonces de situation falsifiées. Le spectre d'Enron ressurgit !
La troisième période, celle du passage par les hedges funds et les banques d'affaires, voit la crise du subprime s'amplifier et éclater lorsque les produits toxiques sont diffusés mondialement.
Une spéculation effrénée génère d'autres types de montage : le blanchiment, du fait de l'omniprésence de structures installées dans des paradis fiscaux, et de la totale absence de transparence qui y règne ; la manipulation d'informations afin de créer un appel d'investisseurs nouveaux qui nourriront la machine alors que la situation est dégradée. Ensuite, la spéculation boursière de type «bouilloire» (prises de position rampantes, late-trading, écrêtage et tant d'autres montages). Enfin, les délits d'initié qui peuvent survenir lors des recapitalisations des institutions bancaires, parabancaires ou d'assurances en utilisant les ventes à découvert. Et, pour terminer, les jeux destinés à «aider» la chute de concurrents en faisant baisser artificiellement les cours, ce qui crée des problèmes graves à la collectivité. Pour conclure, rappelons une réplique célèbre du film L'Arnaque : «À quoi bon faisander si les honnêtes gens en font autant ?»
http://www.lefigaro.fr/debats/2008/12/20/01005-20081220ARTFIG00002-ne-pas-occulter-la-dimension-criminelle-de-la-crise-financiere-.php
V.V
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